Francine Labelle
Je peins ma terreur de voir venir, de voir apparaître ce que je ne sais pas encore, ce qui va m’éblouir finalement ou me laisser pantoise…
Un rêve éveillé que la peinture mouillée fait surgir devant mes yeux à grands gestes puissants ou à petites touches en staccato sur des rythmes surpris…
La vie continue de prendre forme… et se structure, sidérante.